Le ministre de l’administration territoriale fait savoir que ces mouvements ne sont pas reconnus par la loi. Il demande à cet effet de cesser leurs activités.
Les activités menées par « l’Alliance politique Pour le Changement » et « l’Alliance pour une transition Politique au Cameroun » ne sont pas du goût du ministre de l’administration territoriale. Pour Atanga Nji » n’ayant aucune existence juridique légale, ces mouvements clandestins ne peuvent mener aucune activité politique sur toute l’étendue du territoire nationale » lit-on dans le communiqué rendu public ce 12 mars 2024.
A la tête de ces mouvements, deux hommes politiques ; Jean Michel Nitcheu, coordonnateur national de l’APC par ailleurs président du Front pour le Changement du Cameroun et Olivier Bilé, initiateur de l’ATPC. Le patron de l’administration territoriale précise que » la qualité de parlementaire ou homme politique ne saurait être un passe droit pour défier impunément l’autorité de l’état, inciter à la rébellion et tenir des propos outrageants à l’égard des autorités«
Cette mise au point intervient après que » les promoteurs de ces mouvements clandestins sont allés rencontrer en prison des terroristes définitivement condamnés pour des crimes graves planifiés et orchestrés dans les régions du Nord-ouest et du sud-ouest » s’offusque le MINAT.
Voici le communiqué final
