Ce mercredi 26 février 2025, le village de Mbeng, situé dans l’arrondissement de Bafou (département de la Menoua, région de l’Ouest), est plongé dans l’effroi après la découverte macabre du corps sans vie de Djongo Nguefack Indila Cécilia, une fillette de seulement 6 ans.
Le drame, révélé par nos confrères de Menouactu, a profondément choqué les habitants et les autorités locales.
Un crime odieux
Selon les premières informations, la petite Indila aurait été victime d’un viol avant d’être jetée dans un cours d’eau. Son corps, retrouvé ce matin, portait des traces de sang au niveau des parties intimes, laissant craindre le pire. La fillette avait quitté son école mardi 25 février vers 14h30 pour aller chercher de l’eau, mais elle n’est jamais rentrée chez elle. Sa disparition avait immédiatement alerté sa famille et les riverains, qui ont lancé des recherches jusqu’à la découverte tragique de son corps.
Une communauté sous le choc
Les habitants de Mbeng, ainsi que les autorités locales, sont sous le choc face à cette atrocité. Le chef du quartier Mbeng s’est rendu sur les lieux pour apporter son soutien à la famille endeuillée, tandis que la communauté se demande comment un tel acte a pu se produire. Ce crime rappelle douloureusement celui survenu récemment, impliquant la fille d’un an et demi du directeur général de Camwater, et soulève à nouveau des questions cruciales sur la sécurité des enfants.
Appel à la vigilance et à la justice
Cette tragédie met en lumière l’urgence pour les parents de renforcer la surveillance et l’encadrement de leurs enfants, dans un contexte où de tels actes de violence semblent malheureusement se multiplier. Les autorités compétentes sont appelées à se saisir de l’affaire avec la plus grande diligence, afin d’identifier et de traduire en justice les responsables de ce crime odieux.
En attendant que la lumière soit faite sur ce drame, Cette affaire doit servir de rappel à tous : la protection des enfants est une responsabilité collective, et chaque effort doit être déployé pour éviter que de telles horreurs ne se reproduisent.
