fbpx

Septentrion : Afrokrema valorise la coiffure africaine

0

Dans le cadre de sa tournée nationale, Afrokrema, cette jeune start-up qui se fait de plus une place au Cameroun et à l’international dans le culte de l’art à travers ses coiffures, a fait un arrêt dans les 3 régions septentrionales du pays. Un escale qui a débuté le 25 octobre 2023.

Sous la thématique “Djamna”, l’équipe dirigée par Mikelange et son collaborateur, a entretenu, les femmes, mères et filles, les professionnels de la coiffures sur l’importance qu’à la coiffure africaine dans le quotidien.

En effet, il s’agissait dans “les villes de Ngaoundere, Garoua et Maroua, de promouvoir le savoir faire capillaire.” C’était aussi plusieurs rencontres sur les formations sur l’entretien des cheveux afro, l’utilisation des produits capillaires, la création des start-ups sur la coiffure africaine. Au-delà de tout cet aspect, il était question de sensibiliser.

Il faut préciser que les formations ont débuté à Ngaoundéré, dans la région de l’Adamaoua, ensuite Garoua dans le Nord et enfin à Maroua, dans l’Extrême-Nord Cameroun.

Pour le promoteur, Mikelange “il s’agit d’accompagner l’essor de la coiffure africaine. Faire comprendre à la jeune fille du grand Nord Cameroun, que la coiffure africaine est un vecteur de culture, un vecteur de traditions. Il est donc important de le faire, pour que la culture africaine, la culture camerounaise, puisse prospérer.”

Créé en 2021, tout récemment, Afrokrema ne compte plus rester dans le silence. Il explose désormais dans le monde du Show-bizz. Créé par Mikelange et Luc Timber, Afrokrema , ce groupe de confections capillaire atypiques et monumentales, à travers leurs coiffures époustouflantes, met en exergue le savoir-faire de la jeunesse créative camerounaise et africaine.

Si pour d’aucuns, il s’agit d’un métier de femme, pour les promoteurs et les entrepreneurs de l’art culturel, et les professionnels de la coiffure, “ hommes comme femme se coiffent. Aujourd’hui être polyvalent est un atout. Aucun métier n’est réservé à un individu particulier. S’il permet de faire vivre son homme, de redonner des couleur à la vie et participer au bien-être et à l’être bien, alors il faut le faire.

Cette tournée, qui des plus bénéfiques, permet ainsi au promoteur d’Afrokrema de peut-être dans les prochaines collections, raconter l’histoire du Sahel, au travers de leurs coiffures.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *