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Liberté d’expression : le monde rend hommage à l’écrivain en prison

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Chaque 15 novembre, le monde célèbre la journée mondiale des écrivains en prison. Une occasion pour les journalistes, poètes, nouvellistes, écrivains de dénoncer les entraves à leur métier. Le Cameroun se souvient d’ailleurs du cas Martinez Zogo.

Crée en 1981, par l’association des poètes écrivains et nouvelliste (PEN) International, la journée des écrivains emprisonnés sensibilise le public aux écrivains et journalistes persécutés. Une occasion pour le journaliste littéraire Junior Haustin de se prononcer.

Extrait de Junior Haussin, journaliste littéraire

En effet, cet événement a pour objectif de soutenir les écrivains qui s’opposent à la répression du droit à la liberté d’expression. Au Cameroun, des journalistes victimes comme Joseph Essama déplore le talent tué.

Extrait de Joseph Essama, Journaliste écrivain

Cette journée est une occasion, pour les poètes, écrivains et nouvellistes de  réaffirmer la nécessité de protéger les écrivains et les journalistes à travers le monde. Le cas du journaliste de paix Adelin Job Bangou de la RDC qui condamne fortement certains abus.

Extrait Adelin Job MBangu

En plus d’augmenter la prise de conscience du public des écrivains persécutés en général, cette célébration utilise la Journée de l’Écrivain en prison pour attirer l’attention sur plusieurs écrivains persécutés ou emprisonnés spécifiques et de leurs circonstances particulières.

Extrait Junior Haussin

Chaque année, l’événement choisi d’attirer l’attention sur la situation spécifique de 5 écrivains persécutés ou emprisonnés voire même assassinés. Un vivant hommage est d’ailleurs rendu à Martinez zogo, journaliste camerounais, froidement assassiné pour avoir aimé son métier.

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