Ils étaient rassemblés pour un meeting suivi d’une marche de contestation et d’un sitting devant la caisse nationale de prévoyance sociale.
L’équipe dirigée par Isaac Bessala, président de ladite association a tenu à faire valoir ses droits lors de la journée qui leur est dédiée. Leur élan a été stoppé par les forces de l’ordre, ce qui a provoqué l’indignation des membres : la police est là. C’est un cas de violation de la convention 087, le siège a été violé et c’est une violation grave et très grave parce-que cette violation se passe le 1er mai où c’est une journée des travailleurs. Le 1er mai nous n’avons pas à demander la permission de marche ou quoi ce soit. C’est une journée sacrée, c’est une journée du travailleur a déclaré le président à nos confrères de Canal 2 international.
Selon M. Bessala, c’est un abus, étant donné que la marche en question s’est faite sans éclats de voix encore moins de violence.
Autre problème relevé, la mise à l’écart de l’Union, lors du choix du thème de cette édition de la fête du travail. l’Union Générale des travailleurs du Cameroun ne compte pas s’arrêter là et continuera à se battre pour la liberté syndicale et la protection syndicale.