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Changement climatique: Il faut sauver le bassin du Congo

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Nourrir une population mondiale en pleine croissance en produisant en grande quantité avec moins de semences, constitue un défi au moment où l’insécurité alimentaire gagne du terrain. Les phénomènes météorologiques extrêmes, tels que les fortes pluies, les tempêtes, les cyclones, les inondations et les sécheresses, figurent également parmi les causes importantes de l’insécurité alimentaire. Pour renverser la tendance, les experts de la FAO et les partenaires, échangent à Douala sur le phénomène de changement climatique.

8 milliards de personnes n’ont pas accès à une alimentation saine, plus de 700 millions souffrent actuellement de la faim et 80% des populations pauvres en milieu rural à l’échelle mondiale dépendent indirectement des systèmes agroalimentaires pour leur subsistance. Une situation qui risque de s’empirer avec les changements climatiques.

 » Nous sortons de la 18e conférence des partis à la convention des nations unies pour la lutte contre les changements climatiques. Et nous pensons que c’est une bonne opportunité que la FAO nous donne d’améliorer la manière de comprendre ce dérèglement climatique. Surtout trouver les moyens d’orientations de nos comportements pour essayer d’activer davantage la résilience des communauté vis à vis des changement climatiques » fait savoir Christophe Bring, directeur de la conservation au ministère de l’environnement.

Les difficultés économiques, les perturbations des chaînes d’approvisionnement due au changement climatique inquiète, et la résilience est convoquée.  » C’est très important pour l’Afrique centrale de saisir les questions de changements climatiques, de crises alimentaires et surtout les rapports pour les prises de décisions » indique Ahamat Mahamat, participant tchadien.

Lutter contre le changement climatique en application de l’Accord de Paris est expliqué et la promesse de transmission assurée.  » Nous connaissons des inondations, des saisons perturbées, les agriculteurs ne savent plus comment se débrouiller parce qu’ils ont perdu toutes leurs productions. Les communautés sont perturbées par les vagues de chaleur. Il faut qu’ils comprennent de quoi il s’agit. Nous ne pouvons pas les accompagner si nous mêmes ne comprenons pas ce que cela signifie » explique Elalie Bashige, représentante du Tchad.

A Douala, les questions de changement climatiques préoccupent, et les experts poussent la réflexion

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