Culture : la musique à l’ère du streaming.
C’est une nouvelle façon d’écouter de la musique. Le streaming permet d’accéder à des chansons en ligne et de pouvoir les écouter en boucle. Depuis 2010 des plateformes légales de streaming ont été créé et ce sont elles qui définissent désormais par leur chiffre qui sont les artistes les plus écoutés, mieux les plus « streamés »
Une nouvelle époque dans le bain de la digitalisation qui n’est pas encore totalement ouverte aux artistes camerounais.
Elle est finie l’époque du vynille, passée la période des cassettes, terminée l’ère du CD. Depuis quelques année c’est en ligne que s’écoute la musique. En effet l’évolution du numérique, c’est une symphonie harmonieuse qui s’est créé entre l’industrie musicale et le Web. On parle alors du streaming. Un procédé de diffusion en flux d’audio et de vidéo.
Avec de nombreuses plateformes comme spotify , deezer , amazone et plein d’autres . Le streaming représente 70% du marché de l’industrie musicale depuis 2018. En 2021 , le nombre d’abonnés à ces plateformes a dépassé le milliard. Selon la deferatuin international de l’industrie phonographique.
Si l’avantage de cette digitalisation est qu’elle brise les barrières et permet à un artiste d’une zone A d’être écouté dans une zone x. Il faut reconnaître que par ricochet les pays en voie de développement sont désavantagés. En effet certaines plateformes sont fermés aux artistes en fonction de leur localisation.
En plus le taux de pénétration d’intérêt très bas réduit l’accès à certains fans qui se demandent comment steamer sans réseau et avec peu de datas . C’est aussi une question de culture quant on sait que streamer légalement a un coût. Pour vous inscrire sur une plate-forme Il faut par exemple avoir accès à une bancarisation en ligne.
Si il faut ajouter à cela l’impact des algorithmes, la musique camerounaise à un autre cap à franchir pour rattraper le train du streaming.
ACM