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Création d’entreprises : le Cameroun en quête de structures plus durables.

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Création d'entreprises : le Cameroun en quête de structures plus durables. Actualité du Cameroun
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Des responsables des structures d’encadrement et des seniors, formés à la création d’entreprises beaucoup plus durables et rentables. Ils étaient à l’école d’experts du domaine le 10 juillet à Yaoundé. Une initiative du ministère des petites et moyennes entreprises, de l’économie sociale et de l’artisanat.

Le Cameroun a un fort taux de création d’entreprises. Le pays est passé de 15.601 en 2022, à 19.651 en 2023, selon des statistiques officielles. Il y a une évolution. Mais les entreprises en question ne tiennent malheureusement pas longtemps, 5 ans maximum. Les lacunes dans la méthodologie et l’environnement peu propice au développement, pointés du doigt.

Un problème que veut résoudre le ministère des petites et moyennes entreprises de l’économie sociale et de l’artisanat, via la formation des responsables des structures d’encadrement et des seniors, ce 10 juillet à Yaoundé. Les experts ici présents, partagent avec eux les outils qui vont leur permettre de pérenniser leurs affaires

« Elles ont donc besoin d’un soutien spécial aussi bien des institutions, des partenaires au développement et des acteurs du secteur privé ayant déjà développé leur entreprise dans ce domaine là, et qui pourraient également matérialiser cette importance en terme de richesse entrepreneuriale. Et la partager avec les autres ».

« Il y a également des séniors, dotés de grandes expériences, qui pourraient leur permettre de pouvoir mettre leur connaissance au profit de l’entrepreneuriat et permettre au Cameroun d’atteindre ses objectifs de croissance qui la définit dans la stratégie nationale de développement 2020-2030 (SND30) » indique Sylvie Tchana, directrice des Petites et Moyennes Entreprises au Ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Economie Sociale, de l’Artisanat.

Le gouvernement met beaucoup plus en avant le secteur secondaire, pour atteindre le Cap de 25% de la valeur ajoutée manufacturée. Ceci, pour répondre aux objectifs de la transformation structurelle de l’économie.

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