Crise anglophone : regain de violence dans le Nord-ouest.
Ce début de semaine n’a pas été calme dans la région du Nord-Ouest, où les jours se suivent et s’enchaînent des cas de violence. Entre l’arrondissement de Njikwa ou des présumés séparatistes s’opposent à la construction des routes et une attaque armée sans motifs établis. La crise sécuritaire semble s’enliser. .
Une zone extrêmement enclavée, c’est le tableau que peint Njikwa depuis sa création. L’arrondissement situé dans le département de la Momo à mal à ses routes . Alors qu’une lumière de changement éclairait les populations depuis quelques jours avec le début des travaux de constructions , la violence du conflit sociopolitique à plongé la zone dans le noir. Des bandes armées de combattants se réclamant du motivent séparatistes se sont opposées aux travaux au village Acha ce lundi 29 avril, bloquant les engins de construction et les travailleurs
Ils s’opposent à la construction des routes
Dans une vidéo, ils expliquent être contre toute construction au cœur de la crise sécuritaire. Les populations et ressortissants de la zone ont fustige l’absence des forces de défense pour sécuriser les sites de constructions . C’est la deuxième fois que de tél projet sont freiné sur l’axe Mbengwi Njikwa. Le vent de trouble ne s’apaise pas dans le nord ouest. La ville de Bamenda a connu la nuit de dimanche à lundi l’attaque d’un véhicule.
Le feu a été ouvert par des assaillants non identifié au quartier Bengwi Road sur la voiture transportant un groupe de retour d’une réunion culturelle. Bernis couturière dans le quartier trouvera la mort sur le coup . Touchée par les balles à la poitrine et à la tête elle laisse 3 enfants orphelins . Une autre victime de l’attaque est entré la vie et la mort dans une formation sanitaire de la ville.
A C M