Violences basées sur le genre: la gendarmerie s’engage aux côtés des victimes
Dans la lutte multi-sectorielle engagée contre les violences basées sur le genre, la gendarmerie nationale s’y penche. Raison trouvée d’un séminaire ouvert au centre de perfectionnement à Yaoundé destiné au gendarmes venus de différentes régions. La hiérarchie en partenariat avec onufemme veut les outiller dans la gestion des cas.
Gendarmes en position d’apprenants studieux. On parle ici de violences basées sur le genre. La gendarmerie nationale, le plus souvent sollicitée pour des plaintes du genre se met à jour, stylos en main. Objectif « donner plus de connaissances, d’aguerrir notre personnel à cette nouvelle problématique: celle des violences basées sur le genre, qui prend de l’ampleur au sein de notre société » indique le chef d’escadron Eyong Onana, chargée d’études à la direction de l’administration et de la logistique à la gendarmerie nationale.
Pour ce séminaire ouvert à Yaoundé, les formateurs convoquent des approches nouvelles adaptées au sujet et au contexte. Pour eux les enseignement tiennent sur un but « fournir aux gendarmes les capacités de pouvoir prendre les plaintes: c’est-ç-dire accueillir les victimes, auditionner les victimes et auditionariser les faits en vue de transmettre au parquet les éléments » précise le colonel Thierry Blondet, formateur.
Le haut commandement représenté la, donne l’onction pour une attention désormais renforcée pour la gestion par la gendarmerie des cas relatifs aux violences basées sur le genre.